Discours inversé. Silence sur les causes.
On oublie pourquoi l’Iran est ciblé. On oublie qu’Israël et les États-Unis ne cherchent pas la guerre, mais essaient d’éviter la déflagration. Et pendant ce temps, l’Iran arme le Hezbollah, finance le Hamas, soutient l’attaque du 7 octobre, appelle à rayer Israël de la carte.Et pourtant... c’est l’Iran qui passe pour la victime. Et Israël pour l’agresseur. Le mensonge est tellement bien orchestré qu’il passe pour une vérité.
Quand la défense devient une offense camouflée
Le droit de se défendre est inscrit dans la Charte des Nations Unies. Il est fondamental. Mais ce droit ne peut pas être invoqué à tort pour couvrir des actes d’agression déguisés.- Financement direct du Hezbollah et du Hamas.
- Implication dans l’attaque du 7 octobre.
- Multiples appels à la destruction d’Israël.
- Implantations militaires dans toute la région.
- Stratégie diplomatique pour se poser en victime.
Israël : l’agressé devenu accusé
Israël ne revendique aucune expansion. Il ne finance aucune milice. Il ne cherche pas à imposer une domination régionale. Il réagit aux menaces et aux attaques.Mais aux yeux du monde, chaque réaction devient une "escalade". C’est le piège parfait : ne rien faire, c’est être faible. Se défendre, c’est être accusé. Et les groupes terroristes, eux, deviennent des "résistants".
Le pouvoir de la propagande émotionnelle
Une photo d’enfant blessé. Une femme en pleurs. Une ville en ruine. Mais pas un mot sur les roquettes tirées depuis les hôpitaux. Pas un mot sur les tunnels. Pas un mot sur les boucliers humains. Tout est orienté pour retourner l’opinion.Défendre la paix, c’est dire la vérité
Oui, tout pays a le droit de se défendre. Mais pas le droit de mentir pour tuer. Israël cherche à vivre, pas à détruire. Et cela, aucune inversion ne pourra l’effacer.Chercher la paix, c’est dire la vérité. Même quand elle dérange. Surtout quand elle dérange.